Objectif – Surveiller son environnement

Il est primordial pour une entreprise de « surveiller son environnement selon des objectifs définis et d’intégrer les données collectées pour les transformer en véritables informations stratégiques et opérationnelles ». C’est ce qu’on appelle la veille. A bien des égards il est important de collecter l’information : agir et réagir, s’adapter, anticiper, limiter les risques (…) dans le but incessant d’obtenir un avantage concurrentiel, quel qu’il soit.

Tout débute avec l’expression de besoin qui consiste à définir le périmètre de la veille d’après les objectifs stratégiques fixés. Il sera alors plus simple de mettre en place une veille pertinente.

Méthode – Identification des sources d’information pertinentes

Puis vient la phase de recherche et de collecte de l’information, qui commence par l’identification des sources d’information pertinentes.

C’est un travail primordial qui permettra d’avoir accès aux informations de qualité et d’éviter ainsi le « bruit », très présent sur le web. Afin d’avoir des informations qualitatives, il est utile d’utiliser des outils performants tels que les agrégateurs de flux RSS ou bien les plateformes de veille.

Opérationnel – Un contenu qualitatif

Après avoir récupéré l’information, il convient de l’analyser, de la synthétiser et de la mettre en forme afin d’en faire un contenu qualitatif, exploitable et diffusable. C’est lors de cette phase que s’exprime la véritable valeur ajoutée. On peut ensuite donc diffuser ces informations aux différents acteurs pertinents qui doivent y avoir accès, afin de prendre les bonnes décisions pour l’entreprise, après avoir eu les bonnes informations, au bon moment.

Toutes ces actions qui revêtent une importance pour les entreprises sont enseignées à l’Ecole de Guerre économique, référence nationale en matière d’IE, notamment dans le M1 stratégie d’intelligence économique, en alternance …

Par François Dumeyniou (LinkedIn)
Consultant core banking
Chez TNP Consultants (site)

Quelle formation ? C’est l’École de guerre économique.

François Dumeyniou